Former des experts adaptables aux différents usages à venir pour les gros comme les petits drones
Amenés à évoluer dans un environnement international, l’ESTACA a fait le choix d’un enseignement 100 % en anglais pour ces futurs ingénieurs. À travers cette spécialisation, les étudiants appréhendent la réglementation nationale et internationale, la maîtrise des risques des opérations complexes ou s’inscrivent dans les travaux des bureaux d’études des grands projets de drones européens. La formation aborde les activités liées aux petits drones (surveillance des réseaux, inspection par drone, agriculture, topographie ou livraison) ainsi qu’aux plus gros comme les drones militaires, de transport urbain (Urban Air Mobility) et les pseudo-satellites (High Altitude Pseudo Satellite). Cette double approche permettra aux futurs diplômés d’adapter leur expertise aux différents usages possibles de cette technologie.
Une formation assurée en grande partie par des partenaires industriels
Des professionnels du secteur aéronautique et de la défense, partenaires de l’ESTACA, dispensent ces enseignements depuis début octobre, auprès des étudiants de 5e année. Parmi ces intervenants, certains viennent d’entreprises d’envergure et d’avenir comme Dassault Aviation, AltaMetris, Thales, Eurocontrol, le BNAE, DELAIR, PARROT, etc.
Des projets associatifs pour compléter la formation
Déjà abordés au travers d’autres modules, l’ESTACA confirme son intérêt en matière de drones grâce à cette spécialisation. Ses étudiants mènent depuis quelques années déjà des projets liés aux drones dans le cadre associatif. La première course officielle de drones en souterrain de France est organisée chaque année par les étudiants de l’association ESTACA Modélisme depuis 2017. Ce challenge regroupe une trentaine de pilotes de toute la France, professionnels ou amateurs.